des emballages…), 42 % des signalements sont liés à des expositions indirectes et 11 % des signalements liés à l’application, 24 % des symptômes sont de type hépato-digestifs (ex. nausées), 20 % neurologiques et neuro-musculaires (ex. céphalées), 18 % cutanés (ex. prurit), 16 % neuro-sensoriels (ex. douleurs oculaires), 8 % respiratoires. Les vêtements de travail et équipements de protection obligatoires Les équipements de protection individuelle doivent obligatoirement répondre aux normes régies par le règlement (UE) 2016/425. Les vêtements de travail, eux, ne sont soumis à aucune norme de protection. D’une manière générale, il convient de se reporter aux conditions d’emploi figurant sur les décisions d’AMM (voir site E-Phy de l’Anses) et les étiquettes des produits. En outre, l’Anses a défini dans un avis (publié au JORF 0162 du 13/07/2016) des préconisations minimales en termes d’EPI à porter par les opérateurs lors de la manipulation et de l’application de tout produit phytopharmaceutique (même non classé sur le plan toxicologique) et par les travailleurs. Opérateur : personne en contact avec le produit concentré (phases de préparation/mélange/chargement) ou dilué (phases d’application ou de nettoyage du pulvérisateur). Travailleur : personne pénétrant dans une zone préalablement traitée ou manipulant une culture traitée, et respectant un délai de rentrée figurant dans les décisions d’AMM.