le réseau SAGIR géré par l’Office français de la biodiversité (OFB), l’Institut technique et scientifique de l’apiculture et de la pollinisation (ITSAP – Institut de l’abeille), le Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air (LCSQA), sans oublier les plans de surveillance des Ministères sur l’eau et les aliments et le recueil des effets non intentionnels dans le cadre de la Surveillance Biologique du Territoire. Signalements spontanés : les utilisateurs des produits, mais aussi les professionnels de santé et autres (titulaires d’AMM, fabricants, distributeurs…), les particuliers peuvent signaler, via différents portails, des effets indésirables liés à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques. Études ad hoc : la phytopharmacovigilance dispose d’un budget pour financer des études spécifiques et générer des connaissances, par exemple, lorsque les informations remontées par les réseaux de surveillance sont à préciser. Les fiches de phytopharmacovigilance à juillet 2024, l’Anses a publié 60 fiches de phytopharmacovigilance (substances de synthèse et de biocontrôle) sur son site internet (https://www.anses.fr/fr/content/fiches-de-phytopharmacovigilance-ppv). Une notice explicative d’élaboration des fiches est aussi disponible. Ces fiches synthétiques regroupent, par substance active, l’ensemble des données issues des différents réseaux de surveillance. L’Anses a prévu la rédaction d’une fiche pour chaque substance active entrant dans la composition d’une préparation réévaluée, cette dernière étant un complément d’information au processus d’évaluation des risques. Les substances actives donnant lieu