LIRE SA STORY JULES RIBSTEIN « Le soutien de la Caisse d’Epargne est salutaire » Jeune, l’Alsacien Jules Ribstein pratiquait déjà le triathlon de façon intensive. Il était l’un des meilleurs de la discipline dans son lycée puis est vite devenu l’un des meilleurs séniors alors qu’il suivait en parallèle une formation en STAPS* à la fac. Sauf qu’un accident de moto, à l’âge de 21 ans, stoppe nette sa progression. Amputé de la jambe gauche, il met de côté ses envies sportives et intègre une entreprise spécialisée dans les ortho-prothèses pendant quatre ans. Mais « le sport intense me manque », confie-t-il. Alors, quand Jules quitte l’entreprise pour des raisons professionnelles en 2017, il décide de s’y remettre à fond. « J’avais 30 ans, se souvient-il. Si je voulais refaire du sport de façon intensive, même en handisport, c’était le moment ou jamais ». *STAPS : sciences et techniques des activités physiques et sportives À l’issue de cette saison en or, le paratriathlète est contacté par la Caisse d’Epargne Grand Est Europe qui lui propose d’intégrer le Pacte de performance* lui proposant notamment une aide financière plus que précieuse. « Elle est salutaire, assure-t-il. Sans ce soutien, je n’aurais jamais pu continuer à m’investir autant dans le sport ». « Sans ce soutien, je n’aurais jamais pu continuer à m’investir » Il participe ainsi à une première course en 2017 et brille dès sa 1ère participation aux championnats de France handisport. Grâce à sa 2e place, Jules est sélectionné en équipe de France, avant de connaître son premier podium aux Mondiaux en 2018 (3e). L’année suivante est celle de la consécration : champion du monde en Suisse, champion d’Europe en Espagne, champion de France et nouveau n°1 mondial de la discipline. L’histoire d’une sérénité retrouvée Grâce à ce soutien, Jules peut investir dans du matériel de pointe. « Mais ça me permet surtout de me consacrer intégralement au triathlon puisque je peux financer mes dépenses au quotidien et mon loyer ». Car pour rester au meilleur niveau, il assure qu’il est « impossible de travailler à côté. Ce serait courir à l’échec et à la blessure ». Et Jules de rappeler ses semaines bien chargées : 20 heures d’entraînement, 5 heures dédiées aux soins (docteur, ostéopathe, kinésithérapeute), 5 heures de suivi administratif (notamment dans le cadre du suivi antidopage) et une dizaine d’heures de logistique pour se rendre aux entraînements et aux compétitions. « Sans le soutien de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe, ce serait impossible de tenir un tel rythme et, surtout, de rester performant. » La sérénité qu’il acquiert via cette aide mensuelle lui permet de voir l’avenir en grand. Il se nourrit aussi de l’espoir de représenter la France lors de l’olympiade organisée à Paris. « Ce serait une belle façon de pouvoir terminer ma carrière », assure-t-il, rappelant également que la Caisse d’Epargne, soutien de toutes les équipes de France Olympiques et Paralympiques, est également présente via le Groupe BPCE, premier partenaire premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. « Dès que nous avons rencontré Jules, le courant est bien passé. Il s’agit d’une personnalité qui dégage une grande force mentale et une volonté incroyable. Jules avait des interrogations légitimes à propos de sa façon de pouvoir boucler son budget. Et cela nous a paru tout à fait naturel de nous lancer dans cette belle aventure à ses côtés. Notre soutien lui permet de pouvoir se projeter avec davantage de sérénité sur ses prochaines échéances sportives. Dans le même temps, Jules a toujours été disponible pour intervenir auprès des collaborateurs et sa parole est particulièrement intéressante afin de réaliser des passerelles entre le monde de l’olympisme et celui de l’entreprise. » Marie-Christine Rouard —directrice de communication Caisse d’Epargne Grand Est Europe Extrait de palmarès : 2017 – 2e aux championnats de France 2018 – 4e des championnats d’Europe 2018 – Champion de France 2019 – Champion d’Europe, du monde et de France