Handball : « ma motivation est toujours intacte » Le handball, il dit être « tombé dedans à 14 ans », quand un ami du collège lui a donné envie de pratiquer. Depuis, Luc Abalo ne s’est jamais éloigné des terrains et il s’est constitué, au fil des saisons, un des plus beaux palmarès de la discipline. Avec l’Équipe de France, Luc Abalo compte deux médailles d’or olympiques (2008, 2012), trois titres mondiaux (2009, 2011, 2017) et autant en championnats d’Europe (2006, 2010, 2014). « Le fait de rester longtemps au haut-niveau, cela fait partie du tempérament. Il y a cette envie constante de rebondir après les échecs, de se battre, de se fixer des objectifs. Chez moi, la motivation a toujours été intacte », explique-t-il à quelques mois de Tokyo. L’art : un certain goût de la liberté Depuis son enfance, Luc Abalo cultive un goût certain pour l’art. « Comme tous les jeunes, j’ai commencé par des dessins, puis de la peinture ». Au fil des années, il découvre les styles, apprécie « le figuratif plus que l’abstrait » et aime étudier « l’inspiration et le travail d’un artiste derrière chaque œuvre ». Ses sources d’inspiration ? Son entourage, ses rencontres, « ces personnes qui m’inspirent par leur personnalité, qui ont inconsciemment un impact sur l’homme que je suis ». Pinceaux en main, le handballeur assure « se sentir libre », « plus apaisé », loin des contraintes qui régissent la vie d’un sportif de haut-niveau. Le Pacte Utile : « un projet qui défend de belles valeurs » Partenaire des équipes de France de Handball, la Caisse d’Epargne suit depuis plusieurs années la progression de Luc Abalo. Fin 2020, la banque lui a donc proposé une collaboration : illustrer le dossier de presse dédié au Pacte Utile. « J’ai été très touché par la confiance et la reconnaissance de la Caisse d’Epargne. Ce projet m’a permis de m’exprimer, tout en défendant de belles valeurs auxquelles je crois. Le Pacte Utile est très précieux pour soutenir les athlètes, valides et handisports, quels que soient leur discipline et leur horizon. C’est très plaisant de s’attacher à les mettre en valeur. Sans le soutien de la Caisse d’Epargne, certains athlètes ne pourraient pas se permettre de rêver plus grand. »