Nos revendications Les administrations qui résident désormais à la cité sont aujourd’hui confrontées à un paradoxe : l’augmentation de leur quote-part aux frais de fonctionnement et de déménagement devant intégrer la nouvelle cité et les économies drastiques imposées par le gouvernement sur ces mêmes dépenses d’une manière générale. Pour les agents arrivant à la nouvelle cité, FO revendique la neutralité sur leur pouvoir d’achat. Or, la promesse d’un accès parking dans le quartier est passé de 300 places (ratio 1/3 agents) à 100 dans la réalité, et sans parler de tarifs ou de leur prise en charge par leur service d’origine. La mobilité durable (vélos, covoiturage, etc.) connaît vite ses limites. Quant à la restauration, en attendant le RIA, les services sont obligés de conventionner au moins provisoirement ailleurs ou à refaire le monde tous les midis à la tisanerie. Les tickets repas sont bien difficiles à obtenir dans la fonction publique d’État. Pour le « Vivre Ensemble », il est évident que la crèche et le RIA si attendus par les agents y participent. Là aussi, les tisaneries ont leur limite. Avec l’équipe projet du RIA, la préfecture réunit les organisations syndicales le 10 septembre prochain sur site. Ça devrait enfin bouger. Grégoire TOP, SD FGF-FO 80 André CLETY, SD Adjoint FGF-FO 80 Nathalie DELAYEN, SD Adjointe FGF-FO 80 Rédacteurs : en savoir plus en savoir plus en savoir plus Défiler le texte