Irlande Slovénie Bosnie Herzégovine Défiler le texte Défiler le texte Défiler le texte Les syndicats votent sur les propositions salariales du secteur public. Fórsa, SIPTU, INMO, AHCPS et d’autres syndicats du service public consultent leurs membres sur la dernière offre salariale du gouvernement qui prévoirait une série d’augmentations salariales sur une période de 30 mois, du 1er janvier 2024 au 30 juin 2026. Les syndicats ont jusqu’au 25 mars pour se prononcer. Si l’ensemble des membres de tous les syndicats votent pour, l’accord prévoirait les augmentations salariales suivantes : en 2024 – 2,25 % ou 1 125 €, selon le montant le plus élevé, à partir du 1er janvier ; 1 % au 1er juin ; 1 % ou 500 €, selon le montant le plus élevé, le 1er octobre ; en 2025 – 2 % ou 1 000 €, selon le montant le plus élevé, au 1er mars ; 1% le 1er août et première phase de négociation locale de 1 % le 1er septembre ; en 2026 – 1 % ou 500 €, selon le montant le plus élevé, le 1er février et 1 % le 1er juin. Fórsa estime que l’accord apportera jusqu’à 17,3 % pour les travailleurs les moins bien payés. Les syndicats signent un accord salarial, mais tous ne soutiennent pas les négociations sur le système de rémunération. Certains syndicats du secteur public ont signé un accord sur un alignement partiel des salaires sur l’inflation, qui prévoit un ajustement salarial de 80 % de l’inflation sur la période d’un an allant de décembre 2022 à décembre 2023. Avec une inflation de 4,2 %, cela signifie une augmentation salariale de 3,36 % en juin de cette année. Pour être appliqué, cet accord doit être signé par la moitié des 45 syndicats du groupe de négociation du secteur public. Le syndicat signe une entente de trois ans avec le gouvernement fédéral. Le syndicat des fonctionnaires SUFBIH a signé après trois mois de négociations un accord de trois ans avec le gouvernement fédéral jusqu’à fin 2026. L’accord stipule que le salaire le plus bas dans les organes administratifs sera de 70 % du salaire moyen de la Fédération de Bosnie-Herzégovine et que l’indemnité de départ à la retraite équivaut à cinq salaires moyens pour les fonctionnaires.